Alors que Henri est attrapé par un intrus, Nina et Max sont coincés dans l'ascenseur, comme Nina l'avait prévu.... Voyez plutôt!

Alors que Debbie déjeune au restaurant, son complice l'appelle pour lui dire qu'il a enlevé Henri. Pendant, ce temps, Max et Nina sont coincés dans l'ascenseur, comme prévu. Un malentendu va pouvoir être éclairci.

Emma retrouve Henri. Elle découvre un document qui prouve que le thé acheté par son père vient en fait du Japon. Elle comprend que la situation est sérieuse. Au même moment, son père rentre à la maison avec cette Debbie, rattrapée par son associé....

Le père de Emma découvre enfin la vérité sur la provenance du thé qu'il a acheté à Debbie. Entre temps le technicien de maintenance arrive pour débloquer l'ascenseur, ce qui ne semblait pas être une urgence absolue. Voyez plutôt!

Les Pfefferkörner [membres de la petite équipe de jeunes détectives] vont à l'Elbphilharmonie, la grande salle de concert de
Hambourg. L'enfant prodige et pianiste Kim Soo-Ri doit s'y produire aujourd'hui, mais on dirait que quelqu'un lui veut du mal.

Kim reçoit un message de ses parents qui l'attendent devant le bâtiment de l'Elbphilharmonie. Ils ont un jour d'avance sur le programme. Kim court à leur rencontre, mais...

Nele arrive à se glisser dans le fourgon qui a enlevé le jeune pianiste. Les deux enfants attendent le bon moment pour prendre la fuite.

Nele et Kim se sentent en sécurité au Café Goldmann mais les ravisseurs n'ont pas abandonné.

Levin et les autres Pfefferkörner suivent la piste que Nele leur a laissé grâce à ses bonbons.

Nele et Kim sont pris au piège. Mais les gens vont les chercher et les Pfefferkörner et Nesrin, la manager de Kim, vont venir les aider. Du moins, c'est ce que croit Kim.

Dans cette dernière partie de l'épisode, les ravisseurs sont enfin pris, ainsi que la méchante manager. Et les Pfefferkörner reçoivent de belles récompenses.

Le drame documentaire "La classe – Berlin '61" raconte en compagnie d'acteurs et de personnages réels l'histoire d'une "classe de l'Est" à Berlin-Ouest. Les élèves de la classe 13e se rendent chaque jour de Berlin-Est à Berlin-Ouest pour passer le bac à l'école Kepler – jusqu'à ce que le mur soit érigé en été 1961.

Un demi-million d'individus allait tous les jours d'Est en Ouest et d'Ouest en Est. Parmi eux, il y avait aussi Rüdiger, Eva, Christian et Heidi. A l'Est, ils n'avaient pas le droit de passer le bac, c'est la raison pour laquelle ils se rendaient dans la "Classe de l'Est" de l'école Kepler dans le quartier Neukölln de Berlin.

La curiosité de la guerre froide, c'est le quotidien des élèves de l'école Kepler. Vous savez, c'est là où l'on achète en Deutsche Mark des chaussures chic au meilleur prix et où on peut faire de la contrebande vers Berlin-Est.

Selon certaines rumeurs, la frontière va être fermée. Les élèves se demandent comment ils vont pouvoir poursuivre leurs études.